Article du site www.environnement-magazine.fr (05/09/2012) :
Mesurer l’éclairage d’une ville la nuit, c’est bien. Mais le canton de Neuchâtel, en Suisse, va encore plus loin en mesurant la lumière résiduelle – jardin, enseignes, etc.
Mesurer l’éclairage d’une ville la nuit, c’est bien. Mais le canton de Neuchâtel, en Suisse, va encore plus loin en mesurant la lumière résiduelle – jardin, enseignes, etc.
Le survol des trois villes du canton suisse de
Neuchatel a eu lieu les nuits du 27 et du 28 août 2012. Selon un
procédé désormais bien rodé, un hélicoptère équipé par Altilum a survolé
les villes pour mesurer la pollution lumineuse s’échappant vers le
ciel, afin d’optimiser le système d’éclairage public du canton. Les
résultats de cet « audit lumino-environnemental nocture », selon
l’expression de Viteos, l’entreprise responsable de l’éclairage public
du canton, vont permettre d’estimer les zones sous- ou sur-éclairées, et
de régler plus finement l’éclairage public.
L’originalité de cette opération tient au fait qu’un deuxième survol aura lieu, après extinction de l’éclairage public. Objectif : mesurer la pollution lumineuse due aux enseignes, aux panneaux routiers, à l’éclairage des ménages et des jardins. Pour cela, l’éclairage a été éteint une vingtaine de minutes. Cette mesure est une première, aucune collectivité française n’ayant encore envisagé ce type d’analyse différentielle, note Altilum.
L’originalité de cette opération tient au fait qu’un deuxième survol aura lieu, après extinction de l’éclairage public. Objectif : mesurer la pollution lumineuse due aux enseignes, aux panneaux routiers, à l’éclairage des ménages et des jardins. Pour cela, l’éclairage a été éteint une vingtaine de minutes. Cette mesure est une première, aucune collectivité française n’ayant encore envisagé ce type d’analyse différentielle, note Altilum.
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