mercredi 28 décembre 2011

"Quand les citoyens financent les éoliennes"

Article du site www.ouest-france.fr (28/12/2011) :

"Un parc devrait voir le jour dans le Morbihan, près de Redon, d'ici à septembre 2012. Un projet entièrement porté par les habitants grâce à un montage financier innovant. Une première en France.

L'initiative
Au lancement du projet, ils ne pensaient pas que le chemin serait aussi sinueux. Que les haies à franchir seraient si nombreuses. Sept ans plus tard, ce collectif d'habitants du pays de Redon touche au but. Leur projet ? Créer à Béganne (Morbihan) le premier parc éolien de France financé par des citoyens.

C'est l'aboutissement d'un travail de fourmi, qui a mobilisé une quarantaine de Cigales, des clubs d'investisseurs locaux, mobilisés pour le développement d'entreprises solidaires. « Environ 450 personnes se sont réunies au sein de ces clubs, soit un investissement d'un million d'euros », souligne le sculpteur Michel Leclercq, devenu spécialiste en éoliennes.

Douze millions d'euros
Une somme considérable, mais insuffisante vu le coût total : 12 millions d'euros. « Notre objectif est de rassembler 3 millions d'euros en fonds propres, 500 000 € des collectivités locales et 500 000 € auprès des structures de l'économie solidaire, précise Michel Leclercq. Pour le reste, nous avons contracté un prêt auprès d'une banque belge, intéressée par notre idée. »

Pour collecter les deux millions en fonds propres restants, les porteurs de projet attendaient le feu vert de l'Autorité des marchés financiers pour collecter de l'argent de citoyens non-réunis en Cigales. Depuis quelques semaines, c'est chose faite, grâce au mouvement associatif Énergie partagée.

Désormais, tout citoyen peut donc investir dans le parc éolien de Béganne, premier chantier à être financé par cette structure. « Ce n'est pas un don, insiste Michel Leclercq. Le citoyen achète une ou plusieurs actions de 100 €. Nous prévoyons un retour sur investissement de 4 % en moyenne, sur dix ans. »

La mise en route des quatre éoliennes est prévue pour septembre 2012. Elles devraient produire assez d'électricité pour subvenir aux besoins des 18 000 habitants du canton (hors chauffage électrique)."

Pour voir l'article, cliquer ICI.

vendredi 23 décembre 2011

Enjeux et Bonnes Pratiques du Développement Durable : "Veille Réglementaire"

Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Veille réglementaire".

Bonne pratique : Utiliser un logiciel de veille réglementaire pour les thématiques Hygiène, Sécurité et Environnement, permettant de réduire les non-conformités réglementaires et de gérer votre Document Unique.

Pour découvrir un exemple d'outil informatique à destination des PME / PMI, cliquer ICI.

"La société Lemée invente une remorque double-contenant"

Article du site : www.entreprises.ouest-france.fr (23/12/2011) :

"L’entreprise de négoce d’écoproduits et de céréales Lemée a inventé un système de double contenant qui pourrait révolutionner le transport de produits agricoles. 

La Bretagne rejette trop d’écoproduits animaliers, entendez excréments d’animaux traités sous forme d’engrais, mais manque de céréales alimentaires pour ses animaux. Les frères Lemée, de l’entreprise du même nom basée à Aucaleuc (près de Dinan, Côtes-d'Armor), en ont fait leur fonds de commerce. Ils travaillent, depuis qu’ils ont pris la relève de leurs parents en 1996, dans le négoce et le transport d’écoproduit et de céréales.

 

Un système bien rodé

Avec 20 millions de chiffre d’affaires par an et 55 chauffeurs sur les routes, leur stratégie était rodée : les camions prélevaient l’écoproduit en Bretagne, le transportaient vers les régions, aux larges zones épandages, et revenaient chargés de céréales pour nourrir les élevages bretons.Mais un grain de sel est venu se glisser dans leur rouage. Suite aux affaires de contamination croisées, les cahiers des charges des fabricants d’aliments du bétail, et avec eux les directives européennes, ont changé en 2008-2009 : interdiction de transporter des céréales dans des remorques qui ont transporté des fientes animalières. « En clair, cela signifiait faire revenir et renvoyer nos camions à vide, explique Hervé Lemée, 44 ans. Nos coûts de transports et notre bilan carbone se retrouvaient multipliés par deux, il nous fallait une alternative. »

 

Une idée "toute bête" 

Après un an de recherche et développement, la solution est là : des remorques double contenant. L’entreprise en a déposé le brevet en janvier dernier. « C’est tout bête, encore fallait-il y penser, avouent les deux dirigeants. Une porte au fond de la remorque renferme un sac en PVC de type Liner de piscine, fixé sur des rails, qui vient recouvrir l’intérieur de la caisse de manière totalement hermétique. Le chauffeur décharge ses écoproduits, lave et désinfecte la remorque, change de bottes et de combinaison, tend et fixe la bâche. Il charge alors les céréales et referme ce sac de 40 m. »


La suite ?

Faire de ces remorques double contenant des conteneurs adaptables au rail. La complémentarité route-rail, c’est entre autres, là-dessus que l’entreprise mise aujourd’hui. Après l’ouverture d’une plateforme ferroviaire à Guingamp il y a deux ans, elle vient d’acquérir un terrain à Vierzon (Cher). « C’est central et un embranchement ferroviaire intéressant. L’ouverture prévue aux alentours de 2013-2014 donnera lieu à des embauches locales, affirme Hervé Lemée. Ce qui permettra de limiter la zone parcourue par nos chauffeurs. Ils rentreront chez eux tous les soirs, et notre bilan carbone fondera. »"


Pour lire l'article complet, cliquer ICI.

jeudi 22 décembre 2011

Café DD autour de la thématique : "De l'environnement au social, que reste-t-il à faire ?"

La DDCS de la Sarthe propose une soirée en partenariat avec le CEAS de la Sarthe et l'association Sarthe'Educ Environnement : un Café Développement Durable autour de la thématique :
 
"De l'environnement au social, que reste-t-il à faire ?" :
Empreinte environnementale, indicateurs économiques, indicateurs de développement : et le social dans tout ça?
Qu'est-ce qui se fait aujourd'hui?
Comment aller plus loin?
Quel changement?
Quelles innovations?
Avec le témoignage de l'association Tous Ces Chaps
 
Date et lieu : Mardi 17 janvier 2012 à partir de 20h30, à l'Epicerie du Pré au Mans.

Articles du Maine-Libre du 21/12/2011

La filière éolienne récompensée :



Le démarche Santé Active de la CPAM primée :

Efficacité énergétique : les principales mesures

Article du site www.novethic.fr (20/12/2011) :

 

"La hausse des prix de l'énergie, la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre et les objectifs européens conduisent le gouvernement à renforcer sa politique d'efficacité énergétique. Une série de mesures qui concernent les ménages, les entreprises et les collectivités locales, ont été annoncées par la ministre de l'écologie.

 

Aider les TPE et PME
S’agissant des entreprises, qui représentent un gisement d’économies d’énergie équivalent à la production annuelle de 2 centrales nucléaires-, le ministère a retenu plusieurs mesures notamment pour les TPE et le secteur de l’artisanat, pour pallier aux difficultés de financement bancaire qu’elles rencontrent.

 

Les entreprises de moins de 50 salariés auront ainsi accès à un prêt à un taux de 2%, pour des sommes allant de 10 000 à 50 000 euros. Au total, 100 millions d'euros seront prêtés par les directions régionales d'Oséo à partir de février 2012. «Un boulanger qui veut changer son four, qui représente 53% de sa facture énergétique, peut ainsi obtenir un prêt, alors que jusqu'à présent le PTZ démarrait à 50.000 euros », a indiqué  Pierre François Mourier, président du groupe de travail entreprise de la table ronde. Cette mesure devrait permettre au total un gain énergétique de 200 GWh par an.

 

Par ailleurs, la réduction du gaspillage constituant un potentiel considérable d’économies d’énergie, le ministère a adopté une mesure obligatoire d’extinction des enseignes lumineuses entre 1h et 6h du matin pour le 1er juillet 2012. 700 GWh seront ainsi économisés, soit la consommation annuelle d’électricité, hors chauffage et eau chaude, de 260 000 ménages. S’agissant des éclairages de bureaux, qui représentent plus de 6 TWh, une obligation d’extinction est également envisagée en cas d’inoccupation de jour comme de nuit. Un arrêté ministériel devrait être pris en ce sens au premier semestre 2012.

 

Enfin, le dispositif des certificats d’économie d’énergie (qui imposent aux fournisseurs d’énergie de promouvoir l’efficacité énergétique auprès de leurs clients) sera amplifié. C’est l'Ademe qui se chargera de son développement pour atteindre l'objectif de 20 % d'amélioration de l'efficacité énergétique en 2020. Le gouvernement table sur une économie de 345 TWh d’ici 2013.

 

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samedi 17 décembre 2011

"Les salariés incités à déclarer leur handicap"

Article du site www.entreprises.ouest-france.fr (11/11/2011) :

"Dans le cadre de la Semaine du handicap, les salariés de 15 entreprises du Pays sabolien vont participer à un quiz. L'objectif ? Montrer que les employeurs savent prendre en compte cette situation. 

« Un salarié ayant une reconnaissance de travailleur handicapé est obligé de le déclarer à son employeur : vrai ou faux ? Quelle est la proportion d'entreprises qui disent être satisfaites des compétences des travailleurs handicapés qu'elles emploient : 53 %, 73 % ou 93 % ? » Voici quelques exemples de questions posées dans le quiz organisé par la plateforme pour l'emploi des travailleurs handicapés.

Animée par la Maison de l'emploi Sarthe-Sud, cette plateforme aide depuis deux ans les entreprises à répondre à leur obligation d'emploi en terme de recrutement de travailleurs handicapés.

«Ils doivent représenter 6 % de la masse salariale dans les entreprises de plus de 20 salariés. Sous peine d'une contribution de 3 600 € à verser à l'Agefiph (Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées)» rappelle Jérôme Dupré, chargé de projet à la maison de l'emploi et animateur de la plateforme.

Ainsi, 27 entreprises du Pays sabolien adhèrent à cette structure. «Nous mettons en place régulièrement différentes actions : ateliers, visites d'entreprises... Cette fois-ci, dans le cadre de la Semaine du handicap, qui se déroule du 14 au 20 novembre, nous organisons une opération de sensibilisation à destination des salariés.»
 
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vendredi 16 décembre 2011

Ciné Débat - GASLAND

Article du site www.sne72.asso.fr (16/12/2011) :

"Reconnaissant l’importance de l’énergie pour le développement durable, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé dans sa résolution 65/151, l’année 2012, Année internationale de l’énergie durable pour tous.

Chaque mois SNE (Sarthe Nature Environnement) et ses associations fédérées proposeront une action concernant la thématique de l’énergie durable pour tous. Que ce soit, un ciné débat, une soirée jeux, une visite d’installation, des conférences, des cas pratiques...

Durant l’année, tous les publics seront touchés des enfants aux parents et adultes, des professionnels aux touristes en passant par les bénévoles actifs. De par la diversité de nos actions, de nos intervenants, de nos lieux de visites, le public touché sera très large. 

L’inauguration de cette année se déroulera au Cinéma le Royal avec la diffusion du film GASLAND (controverse sur les gaz de schistes) qui sera suivi d’un débat."

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jeudi 15 décembre 2011

Grand Prix du Développement durable du Conseil Général de la Sarthe

"Le Conseil général organise, depuis 2009, le Grand Prix du Développement durable. Concours visant à récompenser les initiatives intéressantes mises en place en vue d'un développement durable du territoire, le Grand Prix du Développement durable s'adresse :
  • aux particuliers et associations,
  • aux établissements scolaires et collectivités,
  • aux très petites entreprises (moins de 20 salariés).
Cette 4ème édition portera sur le thème de la solidarité. Le Grand Prix du Développement durable s'inscrit ainsi dans le droit fil de la mission principale du Conseil général recouvrant tous les domaines de l'action sociale et s'adressant à l'ensemble de la population : enfance, famille, personnes âgées, handicapées ou en difficulté d'insertion.

La solidarité avec ceux qui souffrent, sont dans le besoin, ou sont tout simplement différents, est une nécessité dans la société actuelle. A la portée de tous, la solidarité peut se manifester sous de nombreuses formes. Grandes actions spectaculaires ou petits gestes quotidiens, dans ce domaine, rien n'est négligeable.

Les publics concernés sont multiples : personnes âgées, handicapées, vulnérables, isolées, enfants ou minorités. Les thèmes possibles pour cette édition 2012 le sont tout autant. De l'accueil de personnes en difficulté à la lutte contre l'illettrisme, en passant par l'égalité des chances, l'intégration par le sport, la prévention de l'exclusion, la lutte contre l'habitat indigne..., nombres projets peuvent être mis en place.

En Sarthe, certains l'ont bien compris et agissent déjà en ce sens. Tous les efforts sont les bienvenus, toutes les initiatives méritent d'être encouragées, toutes les bonnes idées doivent être diffusées."

Plus d'informations sur le site du Conseil Général.

L'audiovisuel calcule son bilan carbone

Article du site www.environnement-magazine.fr (08/12/2011) :

"Lancé en 2008, la démarche de réduction des émissions carbone de la filière audiovisuelle, Ecoprod, vient de terminer son bilan carbone pour l'année 2010.

Résultat : 1,1 millions de tonnes équivalent CO2, selon le cabinet Carbone4, soit l'équivalent de l'activité quotidienne de 110 000 personnes. L'étude a été menée sur l'ensemble de la filière de production télévisuelle, cinématographique, y compris la diffusion.

Trois grands types d'activités sont responsables des émissions. Tout d'abord, pour 28 %, les déplacements des spectateurs pour aller au cinéma. En effet, 70 % des spectateurs prennent leur voiture? et il y a, bon an mal an, 200 millions d'entrées par an. Ensuite, 26 % des émissions sont dues à l'activité des chaînes de télé et à la distribution. Encore 25 % sont liés à la fabrication même des programmes télé et des oeuvres cinématographiques.

« Si on ajoute les postes de télévision à ce bilan, il change complètement : les émissions sont alors de 13 millions de tonnes d'équivalent CO2, dont 90 % liées à la fabrication et à l'utilisation de ces téléviseurs », souligne Emmanuelle Paillat, de Carbone4.

La démarche du bilan carbone intéresse les acteurs de la filière, puisque 250 bilans carbone adaptés, dit Carbon'Clap, ont été réalisés en 2011. Les résultats, très variés en fonction des conditions de tournage, ne permettent pas d'extraire une moyenne. Pour compléter la démarché, Ecoprod travaille maintenant à y introduire le hors-tournage et la post-production."

Pour consulter le site d'Ecoprod, cliquer ICI.

mercredi 14 décembre 2011

Exemple de reconversion industrielle : "L’usine Bosch de Vénissieux se reconvertit dans le photovoltaique"

Article du site www.sequovia.com (14/12/2011) : 

"Le site de Vénissieux du groupe allemand Bosch devait fermer ses portes et entraîner la suppression de 500 emplois, à la fin de l’année 2010. C’était sans compter sur la ténacité des syndicats et salariés, qui ont réussi à sauver leur usine en se lançant dans l’assemblage de modules photovoltaiques, nouvelle activité du groupe.

    Fermeture annoncée de l’usine Bosch de Vénissieux
    L’usine Bosch de Vénissieux, dans le Rhône, était spécialisée jusqu’alors dans la fabrication de  pompes à injection diesel pour le secteur de l’automobile.
    Fin 2009, la fermeture du site est annoncée. Durant toute l’année 2010, un long processus de discussion a été entamé avec les syndicats, pour finalement s’apprêter à fermer à la fin de l’année avec la suppression potentielle de 500 emplois.

    Reconversion dans le photovoltaïque
    Le groupe allemand Bosch se diversifie dans le photovoltaïque, c’était là l’occasion inespérée de sauver l’usine de Vénissieux et ses emplois. Le site sera désormais spécialisé dans l’assemblage de modules photovoltaïques, pour 150 MW de production annuelle.
    (...) Le directeur du site, Marc Bobin, ajoute : «L’usine était reconnue dans le groupe pour sa performance et son savoir-faire. L’ensemble des partenaires sociaux et de la direction se sont mis au travail. On n’a pas attendu que les choses se passent, on les a prises en main».
    A Vénissieux, le taux de chômage avoisine les 20%. 200 personnes ont été affectées à cette nouvelle unité de production, ce sont donc autant d’emplois sauvés sur les 500 menacés.
    Les premiers panneaux photovoltaïques issus de cette usine devraient voir le jour dès le mois de Janvier."

    Pour lire la suite de l'article, et notamment l'avis de SEQUOVIA, cliquer ICI.

    La Coopération autrement !

    Article du site www.lamanufacturedurable.com (13/12/2011)

    "La RSE est à l’entreprise ce que l’Agenda 21 est à la collectivité en matière de développement durable. Acteurs publics, acteurs privés : les outils sont différents, la finalité est similaire, le terrain de jeu est le même : le territoire et son développement économique. Comment impliquer les acteurs du monde économique dans l’évolution territoriale ?

    Consciente de la nécessité de faciliter l’implication des acteurs économiques dans le développement durable, la Communauté de communes Caux vallée de Seine a décidé d’élaborer une Charte de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) avec le soutien du Conseil Général de la Seine Maritime. Elle a pour but de fournir des pistes d’actions détaillées et opérationnelles aux entreprises du territoire afin que ces dernières puissent facilement se lancer dans une démarche de développement durable.

    Mettre en œuvre le développement durable sur son territoire demande, pour une collectivité, d’associer le maximum de parties prenantes. Or, s’il est devenu courant d’organiser une concertation et des événements de sensibilisation avec la population, les acteurs publics notent une plus grande difficulté à mobiliser les entreprises. Dotées de moyens humains et financiers plus importants, les grandes entreprises se sont souvent créées un poste référent ou un service dédié au développement durable. Dans les PME, en revanche, lancer une démarche suivie  qui aille au-delà des actions ponctuelles s’avère plus contraignant. Bien qu’agissant déjà pour le développement durable et manifestant souvent la volonté de s’investir davantage en ce sens, elles disent manquer de temps et d’un cadre pour s’impliquer dans une démarche plus structurée."

    Pour lire la suite de l'article, cliquer ICI.

    LEA Valley. Les PME s'allient pour décrocher des contrats

    Article du site www.lejournaldesentreprises.com (02/12/2011) :

    "Une vingtaine d'entreprises régionales du cluster s'associent pour répondre en commun à des appels d'offres. Une première mise en route en 2012.

    Après trois ans d'existentence, d'échanges techniques, de réunions, d'ateliers, les adhérents de Loire Electronic Applications Valley (LEA) ont décidé de partir ensemble à la conquête des marchés professionnels. Ainsi, depuis plusieurs mois, un groupe d'une vingtaine d'entreprises a été constitué pour répondre aux appels d'offres publics et privés. «Un groupe qui reflète le panel de nos adhérents, des TPE-PME, instituts de recherche et groupes industriels», détaille Christian le Moëllic, le délégué général de l'association. Créée en 2008, LEA Valley, basée à Angers, regroupe aujourd'hui 90 adhérents dont deux tiers d'entreprises, représentant 1,3milliard d'euros de chiffre d'affaires et 7.000 salariés, essentiellement dans les Pays de la Loire. Soutenue financièrement par la Région, la Datar, la Direccte et la CCI 49, LEA Valley prend donc en 2012 un nouveau tournant, concret, celui du business.

    Une vingtaine de PME régionales
    Favoriser les affaires par des projets collaboratifs, en fonction des besoins du marché, voici donc la demande des membres du cluster. En prenant exemple sur son homologue Neopolia (secteur naval) à Saint-Nazaire, LEA Valley a décidé de mutualiser les compétences de ses acteurs afin de tenter de décrocher des contrats. Et ce dès 2012. «C'est la mission de ce groupe lors des prochains mois: être reconnu comme un acteur pouvant répondre à des appels d'offres dans le développement de systèmes électroniques», précise Christian Le Moëullic.
    Mais ces 20 entreprises réunies sous la même bannière n'ont pas vocation à être toutes sollicitées sur chaque dossier. «Une entreprise apportera la réponse globale mais en lien avec les compétences des membres, de la conception à la maintenance, dans les domaines de l'aéronautique, du ferroviaire, du médical...», précise Isabelle Delatte, chargée de mission au sein de LEA Valley. Le groupement a décidé de porter ses efforts sur le marché du B to B.Fini l'électronique grand public qui a conduit à fragiliser la filière depuis des dizaines d'années. Généraliste, cette alliance d'entreprises, organisée par une charte, met en avant sa flexibilité, sa réactivité, sa connaissance des ressources disponibles chez les adhérents et sa capacité d'adaptation aux besoins du client."

    Pour consulter l'article, cliquer ICI.

    Enjeux et Bonnes Pratiques du Développement Durable : Communication externe

    Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Communication externe".

    Bonnes pratiques : 
     
    - Réaliser une vidéo d'entreprise (ou lipdub). Exemples d'entreprises mancelles ayant réalisé leur lipdub : 
     
    - Mettre en place une "journée portes ouvertes". Quelques conseils pour réussir sa "JPO", cliquer ICI.

    lundi 12 décembre 2011

    Accord à Durban sur un pacte pour ralentir le réchauffement

    Article du site http://fr.news.yahoo.com (11/12/2011) :

    "Les quelque 200 délégations participant à la conférence sur le réchauffement climatique de Durban se sont séparées dimanche sur un pacte qui, pour la première fois, oblige les plus gros pollueurs à prendre des mesures pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

    Mais l'accord de Durban est jugé trop timide par une partie des délégués et des ONG, qui estiment qu'il ne permettra pas de contenir le réchauffement climatique sous le seuil des 2°C dans le siècle à venir, défini par les scientifiques spécialistes du climat pour éviter une mutation irréversible.

    Cet accord intervient après des années de négociations infructueuses pour imposer une législation contraignante visant les grands pays émergents comme la Chine et l'Inde, mais également les pays riches comme les Etats-Unis.

    Au terme de deux semaines de débats souvent tendus, les participants à la 17e conférence sur le climat organisée par l'Onu sont parvenus à s'entendre sur une extension du protocole de Kyoto, premier cadre juridiquement contraignant de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

    La première phase d'engagement du protocole qui impose aux pays développés de réduire leurs émissions de CO2 expire fin 2012. Kyoto sera prolongé jusqu'en 2017."

    Pour lire la suite de l'article, cliquer ICI.

    "Acheter français est devenu un geste citoyen"

    Article du site www.lemonde.fr (09/12/2011) :

    Alexandre Lopepe est un Européen convaincu mais, depuis six mois, il ne veut acheter que des produits français. "J'ai eu le déclic après une série de reportages sur les ravages de la production de coton sur l'environnement en Chine", explique ce Toulousain de 28 ans, informaticien dans le secteur spatial. "Je n'ai jamais été militant mais, là, je le deviens en agissant. " Claire Nahoun, elle, a eu une "révélation l'hiver dernier", se souvient-elle. "Un soir, mon fils, qui travaille en alternance dans un magasin de jouets, m'a dit que 80 % de ce que je possédais était fabriqué en Chine. Cela m'a piquée au vif", explique cette quinqua, assistante dans un cabinet d'avocats parisiens. "Depuis j'épluche les étiquettes et j'ai des surprises, comme de grandes marques de vêtements made in China. Je suis pour la mondialisation mais désormais, j'oriente mes achats."

    Quant à Thierry Lehoux, gérant d'un bureau d'études à Nantes, sa prise de conscience date d'il y a un peu moins de deux ans, au coeur de la crise mondiale. "Nous avons défendu le libre-échange avec naïveté, commente-t-il. La pollution et les bas salaires sont en Asie et nous avons progressivement perdu nos industries, nos départements de recherche et même nos sièges sociaux. Je privilégie les circuits courts pour faire revenir la production en France."

    Atypiques, ces consommateurs ? Bien au contraire. Selon un sondage réalisé par l'IFOP auprès de 1 004 personnes et publié lundi 21 novembre, 66 % des Français annoncent être prêts à payer un peu plus cher (5 ou 10 %) si le produit est fabriqué en France. Des déclarations d'intention, certes, mais qui se retrouvent désormais dans les faits.

    Sur le Net, prompt à révéler les tendances, le site Alittlemarket double de taille tous les six mois. Il expose les productions hexagonales de 20 000 artisans - textile, bagagerie, décoration, bijoux : 400 000 visites par mois, 15 millions de pages vues. Huit clients sur dix, sondés en octobre, déclarent acheter sur le site pour faire travailler l'économie locale. "Cent nouveaux créateurs par jour demandent à être exposés sur le site", explique, encore étonné, le cofondateur Nicolas Cohen.

    Cet engouement n'a pas échappé à Hervé Gibet et Fabienne Butin. Ces deux pionniers ont, parallèlement à leur travail - lui est journaliste à Paris, elle professeure de peinture à Cassis -, créé en 2008 les sites La Fabrique hexagonale et Madine-France pour aider les consommateurs à débusquer des entreprises fabriquant sur le territoire. "Au début, certains me prenaient pour un pétainiste", explique Hervé Gibet. "Moi, pour une militante d'extrême droite", ajoute Fabienne Butin. "C'est fin 2010 que la tendance s'est inversée : acheter français est devenu un geste citoyen", reconnaissent les deux protagonistes.

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    vendredi 9 décembre 2011

    "Le consommateur en a marre de la fin planifiée des produits"

    Article du site http://lentreprise.lexpress.fr (08/12/2011) : 

    Philippe Jourdan est le coauteur du livre "A nouveaux consommateurs, nouveau marketing. Zoom sur le conso'battant" (éditions Dunod). Pour L'Entreprise, il décrypte ce nouveau consommateur issu de la crise, plus méfiant, plus éclairé et moins riche... Un défi pour le marketing.

    A quoi ressemble le "consommateur battant" ?
    C'est un consommateur hyperactif qui, par nécessité ou par jeu, s'est mis à comparer et à tout remettre en cause : les marques, leurs supposées innovations, les prix. Il s'est mis à fréquenter les circuits alternatifs, à arbitrer lui-même... Il s'est approprié les marques. Les 30-40 ans nous disent qu'ils ont toujours connu la crise. Et une partie croissante de la population a une réelle nécessité de compter ses dépenses. La vraie pauvreté monte en France. La classe moyenne, qui concentre l'essentiel de la pression publicitaire et des actions marketing, raisonne de plus en plus comme les classes inférieures.

    Quelle forme prend ce raisonnement ?
    Les membres de la classe moyenne deviennent très critiques sur leurs dépenses, sur la valeur ajoutée de certaines marques et sur un système de communication qui a bâti une croissance non sur l'innovation réelle mais sur l'obsolescence planifiée. Un produit en remplace un autre et on vous fait sentir la nécessité de changer pour changer. Regardez les smartphones. Même pour des addicts d'Apple, ça commence à faire beaucoup !

    Pour lire la suite de l'article, cliquer ICI.

    jeudi 8 décembre 2011

    Un peu d'humour...

    - Parodie sur l'utilisation des moyens de communication actuels : "L'iPhone 6 présenté par Anthony Kavanagh"

     - Parodies de Tarzan et Titanic, en lien avec l'environnement : "L'environnement fait son cinéma"

    Enjeux et Bonnes Pratiques du Développement Durable : Communication interne

    Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Communication interne".

    Bonne pratique : Mettre en place un journal interne au sein de votre organisation.

    Pour consulter un guide pratique sur la mise en place d'un journal interne, cliquer ICI.

    "Le troc : le nouveau contrat de confiance"

    Article du site http://www.influencia.net (05/12/2011) :

    "Avis aux marques, le «je consomme, donc je suis» a changé de modalités! Le troc, véritable usage, désormais plus qu’une simple tendance s’est généralisé. Modifiant radicalement le rapport à la consommation et donc aux entreprises et à leurs produits, il se présente comme une nouvelle forme de militantisme des consommateurs.

    Après la fièvre ebay, vient l’effervescence de l’échange sans monnaie. Version simplifiée du don selon Marcel Mauss, le troc est l’opération par laquelle l’individu A possédant une tasse et souhaitant acquérir une scie, rencontre B, qui détient une tasse et a besoin d’une scie. En somme, une équation simple.

    Cette technique  s’est répandue depuis plusieurs années grâce à Internet: des maisons (homeexchange.com) aux vêtements (kiditroc.com, vestiairesdecopines.com), c' est un moyen d’échanger sans limite (gchangetout.com). Ainsi, le consommateur malin s’associe au consommateur radin pour investir les plateformes de troc de manière décomplexée.

    À l’heure où le consommateur réinjecte de l’utile dans sa consommation, les marques quant à elles continuent leurs courses à la pseudo-nouveauté. Cette dernière notion, galvaudée par le marketing, n’a plus beaucoup de sens aujourd’hui. Alors que le troc permet à l’objet de vivre plus longtemps et confère à celui-ci une dimension culturelle, la fausse nouveauté ne fait qu’augmenter l’obsolescence.

    Force est de constater que cette forme d’activisme a certainement de l’avenir! D’ailleurs, le troc n’a pas fini de muter. Une aubaine pour les marques, qui ne sont pas moins en reste de tester des formes embryonnaires de ce système, comme c’est le cas pour Intermarché avec sa plateforme sur facebook Family Troc.

    Il faut croire que le troc n’est pas dénué de valeurs. Au-delà de répondre à un besoin d’usage, il réinjecte de la solidarité, de la responsabilité sociétale tout en surfant sur la tendance de l’upcycling.

    Les marques tendent tant bien que mal à redorer leur blason avec leurs différentes actions à «dimension responsables». Il ne faut donc pas négliger cette pratique, qui pourrait se présenter comme une opportunité de créer de la valeur et un réel lien avec le consommateur dénué de connotations purement commerciales.

    Et si les marques troquaient leurs ventes privées contre des trocs privés…"

    jeudi 1 décembre 2011

    "Appel général : curiosité, audace et idéalisme"

    Article du site : http://lecercle.lesechos.fr (01/12/2011) :

    "Fin de cycle, de changement de monde ou d’époque… Renaissance… Le temps est aux ruptures. Les paradigmes évoluent et de nouveaux apparaissent. Quelles capacités, quels comportements pour aborder les temps qui arrivent ? Pas de peur surtout, les opportunités sont trop belles. Steve Jobs aimait citer Bob Dylan “Si vous n’êtes pas en train de naître, vous êtes en train de mourir“.

    Voici venu le temps des courageux, des créateurs, des inventeurs… de toutes celles et ceux qui peuvent imaginer et mettre en place le nouveau monde qui est actuellement en phase active de (r)évolution. Dans ce contexte, quelles sont les meilleures armes, les meilleurs outils ? Toute commande part du cerveau humain. Les meilleurs outils sont issus puis sont au service de l’être humain. A la base de toute action, de tout ouvrage, il y a une réflexion, une idée. Voir un rêve."

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