vendredi 24 février 2012

Le management se fait aussi à la machine à café

Article du site www.entreprises.ouest-france.fr (23/02/2012) :

"Stress au travail, voire risques psychosociaux ou suicides. Face au mal-être des hommes et des femmes dans les entreprises, une des solutions, se nomme le slow management, selon Loïck Roche, directeur adjoint de Grenoble École de management.

Que cache ce « management lent » ? Pas des gadgets, style séances de massages, pour changer l'ambiance dans une entreprise. « Car, là, on ne s'attaque pas aux causes du stress », explique Loïck Roche. Le slow management préconise plutôt que les chefs d'entreprises et leurs cadres prennent du temps pour rencontrer les salariés, écouter leurs préoccupations, entendre ce qu'ils ont à dire. Mais aussi leur transmettre les valeurs de l'entreprise, les convaincre, les rassurer.

Comment ? « Souvent, le manager, pris entre ses e-mails et ses réunions, fait tout, sauf du management. Il faut savoir prendre un escalier plus lointain que l'ascenseur habituel, aller à la machine à café, multiplier les rencontres informelles, plus libres. »

Ne serait-ce pas anecdotique ? « Ça permet de reconstruire les trois leviers fondamentaux pour être heureux au travail : donner du sens, apporter de la reconnaissance et redessiner un futur désirable. » D'autant plus en temps de crise où les salariés malheureux ont encore moins la possibilité de quitter leur entreprise.

 

Heureux,on est plus efficace

En plus, c'est rentable. « Quand on est heureux, on est plus efficace. Investir dans le bien-être des hommes et des femmes est le meilleur investissement pour avoir des performances sur le long terme. » 

 

Pour le spécialiste, de nombreuses sociétés font déjà du slow management sans, parfois, le savoir. Par exemple dans les petites et moyennes entreprises. « Mais il y a des boîtes où c'est complément occulté. Et en France, nous avons du retard. Dans les pays scandinaves, on respecte plus la vie privée. Finir à 16 h, pour récupérer ses enfants à l'école, n'est pas dégradant. »


Le spécialiste n'oublie pas de préciser que le slow management nécessite de la sincérité. Autrement, c'est de la communication et du vent. « L'authenticité est fondamentale. Le manager doit être capable de comprendre subjectivement ses salariés. Mais aussi de ne pas masquer les problèmes, d'avouer 'je ne sais pas'. Comme dit le renard dans Le Petit prince : 'C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.' »"

jeudi 23 février 2012

L'Etat ouvre la chasse aux lampes boules

Article du site www.environnement-magazine.fr (20/02/2012) :

"L’Etat a finalisé les conditions d’aides aux petites collectivités souhaitant améliorer l’efficacité énergétique de leur système d’éclairage.

L’éclairage public avait été désigné comme action prioritaire lors de la table ronde concluant en décembre 2011 sur l’efficacité énergétique. L’Etat avait annoncé 20 millions d’euros d’aides à destination de quelque 31 000 communes de moins de 2 000 habitants. Désormais, les modalités d'aides sont connues. Sont visés les éclairages les plus énergivores, notamment les lampes à boules, à ampoules à vapeur de mercure, qui constituent un tiers du parc français. Or, avec une efficacité lumineuse de 50 lumens par watt, c’est le moins efficace des éclairages. De plus, il est source de pollution lumineuse, en éclairant autant le ciel que le sol.

Pour prétendre aux aides, les collectivités – ainsi que les maîtres d’ouvrage, les syndicats d’énergie et les régies - devront réaliser un diagnostic de leur éclairage, et prévoir des solutions permettant de diviser par deux la consommation électrique. Le dossier, déposé à l’ADEME, pourra compter jusqu’à 50 points lumineux financés, à un taux moyen de 30 %. En effet, l’aide sera de 360 euros pour la source d’éclairage, son luminaire, le candélabre, le ballast, y compris les travaux sur l’armoire électrique et la voirie. Un financement plus conséquent est prévu pour des rénovations permettant d’atteindre un facteur 3 ou 4."

Plus d'infos ICI.

Une fédération veut installer le sport au coeur des entreprises

Article du site www.entreprises.ouest-france.fr (22/02/2012) :

"Une jeune fédération se consacre à y booster sa pratique. Elle organise une formation pour sensibiliser les dirigeants. 

Trois questions à...Daniel Diguet, membre du bureau exécutif de la Fédération française du sport en entreprise (FFSE), ancien président de la Ligue régionale de football et ancien cadre chez Philips, à Caen (Calvados).

Que fait votre fédération ?

Son but : promouvoir l'activité physique et le sport en entreprise. Elle est de création récente, en 2003. Dans la région, on en est aux débuts. On souhaite booster son développement. Crise, pression... Dans l'entreprise, ce n'est pas toujours facile pour certains salariés. Pratiquer une activité physique, c'est important pour le bien-être. Et un salarié en bonne santé, bien dans sa peau, ce sera bon aussi pour l'entreprise. C'est gagnant-gagnant.

 

Comment fonctionnez-vous ?

On connaît le monde de l'entreprise, on connaît le sport. Nous faisons interface. On peut amener un savoir-faire aux entreprises qui veulent mettre en place une animation. Soit on l'organise déjà (badminton, tennis de table, pétanque). Soit on se met en relation avec la discipline pour proposer une manifestation ponctuelle (tournoi) ou sur la durée. C'est à la carte. Par exemple, cela peut être des « after work » (après le travail). On a mis en place du tennis de table à 18 h les mardis à Mondeville, avec une ancienne internationale et avec un club local. C'est typiquement l'esprit.

 

Vous lancez une formation pour dirigeants ?

Oui, de sensibilisation : « Promotion et bienfaits de l'activité physique au sein de votre structure ». C'est-à-dire : entreprises, collectivités, administrations. Elle aura lieu le 12 avril au centre sportif de Normandie, à Houlgate. Un médecin du travail et un sociologue interviendront. Après, place à l'activité physique : marche nordique, stretching."
 

Fédération française du sport d'entreprise : 06 87 73 94 69 (Guy Dancel) - Site fédéral : www.ffse.fr

mardi 21 février 2012

Des ordinateurs réutilisés pour un serveur solidaire

Article du site www.enviscope.com (19/02/2012) :

Spécialisée dans la prolongation de la vie des équipements informatiques, la société DotRiver déploie à Villeurbanne,  un « serveur solidaire » pour Dom'ici, le premier village mobile pour l'accueil des sans abris.

Les adultes ont un accès à Internet, ils peuvent aller sur le site de Pôle Emploi, à des sites qui permettent d'apprendre le français. Chacun a un compte. C'est mieux que la télévision, qui aurait été l'occasion de désaccord pour choisir les programmes. Depuis quelques semaines, des personnes sans abris installées près du quartier de la gare de Villeurbanne, bénéficient d'un système informatique collectif qui leur permet de combler en partie la fracture numérique et sociale.

Obsolescence programmée des matériels
L'initiative a été menée à bien par la société DotRiver, dans le cadre d'actions menées avec M@ison de Grigny, le référent Rhône-Alpes pour l'opération ordinateurs solidaires (ordi 2.0). DotRiver déploie, depuis 2011, des «serveurs solidaires», matériels mis au rebut à cause de leur «obsolescence programmée». "Des entreprises se séparent de leurs matériels informatiques au bout de trois ans, en considérant qu'ils sont amortis". Ces équipements qui n'ont plus de valeur comptable (obsolescence programmée sur le plan comptable) sont tout à fait performants. Ils sont simplement utilisés comme terminaux connectés à des  serveurs." explique François Aubriot, de DOTRIVER.

La méthode consiste à déployer les solutions de virtualisation de poste de travail, sur des serveurs récupérés et de les mettre à disposition d'associations et fondations. Sous l'impulsion volontaire et dynamique d'Alain Sitbon, de la Maison de Grigny, des serveurs ont  été mis en place dans plusieurs lieux. Pour aider des personnes exclues, DotRiver a mis en place un «serveur solidaire» et installé 3 terminaux en libre service.

Un environnement personnel
Dans le village qui sera démonté à Villeurbanne après la période de grand froid, adultes et enfants, disposent de leurs propre environnement informatique (stocké sur le serveur), sur lequel ils peuvent travailler, faire un CV, un courrier, stocker leurs documents et également accéder à Internet pour faciliter la recherche d'emploi, de logement ainsi que pour toutes les démarches administratives nécessaires. L'accès à Internet est réalisé via une clef 3G branchée sur le serveur étant donné que le village devrait être démonté après le plan grand froid.

Sur leur environnement personnel et confidentiel, les utilisateurs disposent de logiciels éducatifs et pédagogiques libres déployés dans les écoles par DotRiver : apprentissage du français, des mathématiques....

Le nombre de terminaux peut être rapidement augmenté en fonction de la demande et des besoins. Un accompagnement aux usages devrait être mis en place en collaboration avec des structures associatives locales impliquées dans l'informatique et le logiciel libre.

DotRiver démontre ainsi qu'il n'y a pas besoin d'acheter des matériels pour répondre à un besoin simple, l'usage de l'informatique, ici dans un cadre particulier pour des personnes le nécessitant, mais également pour les collaborateurs et bonnes volontés d'associations, des entreprises, petites ou grandes, des administrations et des écoles. Il n'y a pas besoin de coûteuses licences. Les solutions DotRiver sont entièrement conçues et basées sur des logiciels libres et Open Source. L'activité de la société consiste à garantir le bon fonctionnement de toute la bureautique dont a besoin tout utilisateur d'informatique et ce en conservant le plus longtemps possible les matériels existants avec une approche recentrée sur l'usage. Depuis 2008, DotRiver intervient dans le domaine de la virtualisation et de la centralisation des postes de travail informatique pour les entreprises, les écoles, les administrations et les associations en leur proposant une approche véritablement éco-inovante.

Appel à candidatures sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

Message du Club Environnement - Sécurité de la CCI du Maine-Et-Loire :

Le CIDFF (Centre d'information sur les droits des femmes et des familles) propose d'accompagner collectivement et individuellement (gratuitement) 5 entreprises pendant un an sur ce sujet.

L'objectif est de tirer expérience de cette démarche et de voir comment la généraliser à l'échelle nationale voire la professionnalisée.

A cet effet, une réunion d'information sera organisée le :

Jeudi 5 avril de 8h30 à 10h30 à la CCI de Maine-et-Loire au 8 boulevard du Roi René à Angers

Plus d'informations ICI.

lundi 20 février 2012

Une patronne de PME part en guerre contre les banques

Article du site http://lentreprise.lexpress.fr (17/02/2012) :

"A la tête d'une petite entreprise de six salariés en Alsace, Patricia Koch lutte depuis plusieurs mois contre les banquiers qui lui refusent un prêt, alors que son entreprise est bénéficiaire. Un ras-le-bol qui prend aujourd'hui la forme d'un collectif d'une centaine d'entrepreneurs, bien décidés à se faire entendre. Et à faire plier les banques.

" Il y a des pressions mais on lâchera pas. " Patricia Koch, entrepreneure alsacienne est partie en guerre contre les banques. Elle a lancé le Collectif Défense PME qui fustige " les refus de prêts et les frais excessifs de découverts " dont les entrepreneurs se disent victimes. " Notre carnet de commande est rempli. Nous allions nous remettre de la crise en réalisant cette année des bénéfices qui vont pratiquement effacer les pertes cumulées. Mais il nous manquait seulement un mois et demi de trésorerie. Les banques n'ont rien voulu entendre. Nous avons dû nous débrouiller seuls. "

L'entreprise de Patricia Koch, MGAD, basée à Sentheim et spécialisée dans la mécanique de précision, ne parvenait pas à obtenir un prêt d'environ 100.000 euros pour régler des arriérés de dettes fiscales et sociales. Menacée d'être placée en liquidation judiciaire, ce sont deux fidèles clients qui lui ont finalement prêté 25 000 euros chacun, Patrica Koch ayant finalement réussi à trouver elle-même les 50 000 euros restant. Ceci lui a d'ailleurs valu les félicitations du procureur à sa sortie du tribunal de commerce.

"Un banquier m'a suggéré d'emprunter auprès des mes salariés"

Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que les réponses préalables et l'attitude des banquiers sont tout de même déconcertantes. "Deux banquiers m'ont reçu trois minutes, avant d'en rester là. Trois autres m'ont conseillé de déposer le bilan et un sixième m'a même suggéré d'emprunter 20 000 euros auprès de mes salariés", détaille-t-elle. 

"Sauvée", Patricia Koch décide de ne pas en rester là et de dénoncer ces blocages structurels. Très vite, une trentaine d'entrepreneurs la rejoignent pour former le collectif "Défense PME". Ils ont manifesté le jeudi 16 février devant l'antenne de la Banque de France à Mulhouse (Haut-Rhin), contre " l'inertie " des banques face à leurs demandes d'aides. "En retour, j'ai reçu la visite d'un huissier la semaine dernière, et j'ai même eu un coup de téléphone de l'Ursaff disant qu'ils en avaient marre de m'entendre", affirme Patricia Koch. 

Lancer un mouvement national
Le Collectif rassemble aujourd'hui 85 dirigeants d'entreprises, soit un peu plus de 1 800 salariés (chacun emploie entre 1 et 80 personnes), qui se situent majoritairement en Alsace. Le mouvement s'élargit à la Franche-Comté et gagne la région parisienne (Haut de Seine notamment). "On attend d'être un plus nombreux et on montera à Paris pour se faire entendre. Mais on veut fédérer d'autres départements", affirme la dirigeante. Le collectif souhaite lancer un mouvement national pouvant regrouper plus de 500 PME. Principale demande: la constitution d'un "pôle public de financement" pour les investissements et les besoins en fonds propres des petites entreprises, dont les décisions d'engagement financier seraient prises par des chefs d'entreprise en activité. Il réclame également des allègements de charges.

Récemment, Patricia Koch a eu sa banquière au téléphone. " Vous vous rendez-compte que tout va être étudié à la loupe ", a prévenu sa conseillère. " C'est clair qu'on est des petits, et qu'il va y avoir des pressions, reconnaît la chef d'entreprise. Mais je ne m'arrêterai pas là ! " Pour Patricia, la guerre a commencé."

Pour lire l'article, cliquer ICI.

mercredi 15 février 2012

Enjeux et bonnes pratiques du Développement Durable : "Transports des salariés et accessibilité du site"

Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Transports des salariés et accessibilité du site".

Bonne pratique : Réaliser un Plan Déplacement Entreprises (PDE).

Pour télécharger le guide de réalisation d'un PDE
, cliquer ICI.

De nouvelles aides pour l'emploi des jeunes

Article du site http://www.chefdentreprise.com (08/02/2012) :

"Les entreprises de moins de dix salariés qui embauchent des jeunes de moins de 26 ans entre le 18 janvier et le 17 juillet 2012 peuvent bénéficier d'une aide à l'embauche. C'est ce qu'indique un décret du 7 février 2012.

La priorité est visiblement donnée à l'emploi des jeunes. Après avoir accordé une aide exceptionnelle pour toute embauche supplémentaire d'un jeune en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, le gouvernement vient d'annoncer de nouvelles mesures en faveur des entreprises de moins de dix salariés. Les TPE qui embauchent des jeunes de moins de 26 ans entre le 18 janvier et le 17 juillet 2012 (inclus) peuvent bénéficier d'une aide à l'embauche pour tout contrat à durée indéterminée ou contrat à durée déterminée d'au moins un mois. C'est ce que précise un décret publié le 7 février 2012.

Cette aide peut s'élever au maximum à 195 € pour le recrutement d'un salarié à temps complet au niveau du Smic et est dégressive au-delà. Elle devient nulle pour le recrutement de collaborateurs au-dessus de 1,6 Smic. Elle est versée pendant un an à compter de la date d'embauche et est cumulable avec l'exonération de charges sur les bas salaires (réduction Fillon). Pour en bénéficier, il vous suffit d'adresser votre demande auprès de Pôle emploi dans les trois mois suivant le début du contrat de travail."

Pour lire l'article, cliquer ICI.

Une convention signée entre employeurs et pompiers

Article du site www.entreprises.ouest-france.fr (14/02/2012) :
"La société mayennaise MPO Fenêtres vient de signer un accord avec le SDIS (Service Départemental d'Incendie et de Secours). Un salarié de l'entreprise est mis à disposition du centre d'incendie et de secours d'Alençon. Dans un cadre bien précis. 

Des pompiers volontaires en activité
Les sapeurs-pompiers sont au nombre de 1 400 dans l'Orne, mais seulement 91 sont des professionnels. Les autres, la grande majorité, sont des pompiers volontaires bien souvent en activité. Raison pour laquelle des conventions sont de plus en plus signées entre employeurs et pompiers « pour déterminer précisément les conditions de départ en intervention et la formation sur le temps de travail », rappelle le capitaine Alain Bac, chargé de missions volontariat au Service départemental d'incendie et de secours de l'Orne.
141 conventions ont déjà signées pour 253 sapeurs-pompiers volontaires. Une de plus l'a été, lundi après-midi, entre le Sdis et l'entreprise MPO Fenêtres représentée par Albert Dantoni, son président et Jean-Luc Lemaître, son directeur. Ouvrier professionnel dans l'entreprise, Anthony Mattard, déjà pompier volontaire au centre d'Alençon va ainsi bénéficier de cette convention. « Plus on a de monde, plus ça tourne, moins on sollicite les gens », soulignent le capitaine Bac et le commandant Sébastien Marathon, chef du centre d'Alençon. 

Des avantages pour l'entreprise signataire 
Outre les avantages apportés à l'entreprise en matière de sécurité, tout employeur privé peut bénéficier d'une réduction de la prime d'assurance incendie et d'une compensation financière sous forme de réduction d'impôt à condition de maintenir la rémunération de son salarié.
« On manque actuellement de 150 pompiers volontaires dans le département », observe le capitaine Bac en invitant d'autres employeurs à suivre l'exemple de MPO. Une entreprise de 170 salariés qui se porte bien. Elle a du reste des projets d'agrandissement avec à la clé quelque 25 emplois."

lundi 13 février 2012

Sarthe Nature Environnement recrute un(e) Animateur(trice) - Vie associative

Au sein de la fédération départementale des associations de protection de l’environnement en Sarthe (Sarthe Nature Environnement), vous aurez pour mission d’assister les bénévoles, avec comme axes principaux d’action : 

 

- Animation de la vie associative et suivi du lien entre SNE et ses associations membre

- L’interface avec les interlocuteurs de manière générale, en permettant une meilleure réponse à leurs sollicitations

- Animations « prévention déchets », « respect de la ressource eau », « participation au débat public en matière d’environnement »...

- Suivi et coordination des projets associatifs

- Aide à l’organisation et participation à des évènements divers, salons, conférences, manifestations publiques…

- Gestion documentaire

 

Plus d'infos en cliquant ICI.

"Free Handi’se Trophy : Une aventure humaine et sportive pour faire bouger les lignes dans l’Entreprise"

Le Free Handi’se Trophy est le 1er raid Handi’Valid destiné aux entreprises déterminées à engager des actions fortes en faveur du handicap :

 

• Un raid Inter-Entreprises de 800 kms pour changer le regard sur le handicap dans la vie professionnelle
• 8 jours de course du 25 mai au 2 juin 2012
• Uniquement des collaborateurs d’entreprises sur la ligne de départ
• 4 Travailleurs Handicapés et Valides, à parité dans chaque équipe
• 2 moyens de locomotion, sur route en cyclo-tandem et sur eau en canoë, pour rallier Lyon à Bordeaux
• Des épreuves de cohésion
• Des actions à destination du grand public et des municipalités
• Des retombées presse

 

Plus d'infos sur le site de la course.

Une convention pour collecter plus de papier de bureau

Article du site www.environnement-magazine.fr (06/02/2012) :

"Le 6 février, ils sont une petite dizaine d’acteurs professionnels et de partenaires institutionnels à avoir ratifié, de manière volontaire, la convention d’engagement sur la collecte et le recyclage du papier de bureau.

Signée sous l'égide du ministère de l'Ecologie et de l’Ademe, elle les engage à augmenter de 50% les tonnages de papiers collectés pour recyclage d’ici 2015. Un objectif ambitieux  - de 400 000 tonnes collectées, il s’agit de passer à 600 000 tonnes - derrière lequel se profile celui de maintenir et développer la filière française de recyclage du papier-carton. On trouve ainsi, parmi les signataires, la Fédération des entreprises du recyclage (Federec), mais aussi l’Assemblée des chambres françaises de commerce et d'industrie (ACFCI) et l’éco-organisme de la filière papier Ecofolio. Tous ont participé à un groupe de travail dédié mais chacun a pris des engagements spécifiques : la Federec s'engage ainsi à fournir des certificats de recyclage aux détenteurs initiaux de papiers de bureau, le Syndicat national des professions de l’immobilier (SNPI) à prévoir des aménagements facilitant dans les bureaux l’évacuation des papiers de bureau et le Réseau Alliance Papier à développer l'insertion dans le secteur.

Autre atout du dispositif, les élus en sont parties prenantes. Ainsi, l'Association des maires de France (AMF) a apposé sa signature au texte. « Les gisements visés étant souvent diffus mais pas toujours très bien connus, beaucoup d’efforts sont à faire en termes de coordination, d’approche concertée et territoriale entre acteurs », éclaire-t-on au ministère. Dans la pratique, cela se traduira par la mise en place d’une « boîte à outils » composée d’informations juridiques et techniques et d'un « trophée des collectivités », qui distinguera une collectivité s'étant illustrée par ses actions en faveur de la collecte et du tri de ces papiers. De leur côté, l'Ademe et le ministère se sont engagés à développer la place du papier recyclé dans leur commande publique, "en particulier du papier bureautique de type ramette", et à améliorer la communication sur les pratiques de tri au travail, "par exemple via une circulaire adressée aux administrations de l’Etat"."

Pour télécharger la convention, cliquer ICI.

jeudi 9 février 2012

Appels à projets REMake (OSEO)

Projet européen pour favoriser l’émergence de projets éco-innovants pour la réduction de l’impact environnemental des produits ou procédés de fabrication des PME.

OSEO et ses partenaires français − le Cetim, Technofi, Active Innovation Management, et la Fédération des industries mécaniques représentée par l’association Promeca − lancent, à compter de septembre 2009 et pour une durée de 3 ans, le projet européen REMake.

Objectif du projet REMake : favoriser l’émergence de projets éco-innovants dans différents secteurs industriels parmi lesquels :

* Travail des métaux,
* Produits et procédés plastiques,
* Traitement de surfaces,
* Ingénierie mécanique,
* Equipements électriques et électroniques...

Ce projet européen s’adresse à toutes les PME voulant s’équiper en technologies propres ou mettre sur le marché des produits éco-innovants. Il vise à mettre en contact experts et entrepreneurs pour analyser la pertinence des projets proposés et accélérer leur déploiement en France et en Europe.
Les projets sélectionnés bénéficieront d’une aide d’OSEO en subvention, plafonnée à 15 000 euros, permettant de financer notamment des expertises externes. Un deuxième appel à projets est lancé du 26 avril 2011 au 30 juin 3012.
Plus d'infos sur le site d'OSEO.

"Bail vert" obligatoire pour les grands bureaux et commerces

Article du site www.leparticulier.fr (09/01/2012) :

"Une annexe environnementale dite "bail vert" est obligatoirement attachée aux baux de bureaux et de commerces, portant sur des locaux de plus de 2 000 m², depuis le 1er janvier 2012. Focus sur ce nouvel outil d'échange entre le bailleur et le preneur, sur la performance énergétique.

Les baux de locaux à usage de bureaux ou de commerces d'une superficie de plus de deux mille mètres carrés, conclus ou renouvelés depuis le 1erjanvier 2012, doivent comprendre une annexe environnementale. Pour les baux en cours, cette nouvelle obligation devra être signée au 14 juillet 2013.

Ce document, aussi appelé "bail vert", contient les informations, fournies mutuellement par le bailleur et le preneur, sur les caractéristiques des équipements et systèmes du bâtiment et locaux loués, sur leur consommation réelle d'eau et d'énergie (chauffage, ventilation, éclairage) ainsi que sur la quantité de déchets générée. 

L'annexe traduit également l'obligation faite aux deux parties de s'engager sur un programme d'actions visant à améliorer la performance énergétique et environnementale du bâtiment et des locaux.

Selon la périodicité qu'ils fixent, le propriétaire et le preneur établissent un récapitulatif de l'évolution de la performance énergétique et environnementale du bâtiment et des locaux loués. Sur la base de ce bilan, le bailleur et le preneur s'engagent sur un programme d'actions visant à améliorer la performance énergétique et environnementale tant du bâtiment que des locaux loués."

Restitution de l'étude sur le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) sur le Pays du Mans

Depuis le mois de septembre 2011, la Chambre Régionale de l’Economie Sociale conduit en partenariat avec le Centre d’Etude et d’Action Sociale de la Sarthe une étude sur le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) sur le Pays du Mans.

L’ESS est un secteur qui regroupe les associations, les coopératives et les mutuelles. Cette étude visait à faire un état des lieux des structures sur le Pays du Mans et à co-construire avec les acteurs et institutionnels des pistes d’actions concrètes à mettre en œuvre pour conforter l’ESS sur le Pays du Mans. 

Vous trouverez ci-dessous l’invitation à la soirée de restitution de cette démarche.

Cette restitution aura lieu le mardi 6 mars 2012 à partir de 17h30 dans les locaux de la Mutualité Française (84 rue du Miroir au Mans). Elle sera suivie d’un cocktail.


vendredi 3 février 2012

La Bourse des Déchets Industriels à votre service

La Bourse  des déchets vous aide à éliminer vos déchets, valoriser vos déchets atypiques difficiles à éliminer par les filières courantes, faire jouer la concurrence dans votre approvisionnement en matières premières de "seconde main". 

Qu’est-ce que la bourse des déchets ?
    - Un outil mis à disposition des professionnels pour échanger des matériaux, des chutes, des rebus, des produits qui auraient vocation à devenir déchets si cette Bourse ne permettait pas à d’autres professionnels de réutiliser, recycler, valoriser cette matière première.   

    - Une base de données accessible à tous sur Internet : les entreprises publient leurs annonces d’offre et de demande de déchets. 

    - Une mise en relation professionnelle : consultation gratuite des annonces, abonnement gratuit pour les professionnels... 

    Exemples d’utilisation : valoriser les déchets atypiques (= pas de filière de recyclage). Ex : airbags, containers à verre, produits chimiques. Obtenir des offres de prix professionnels pour optimiser ses coûts.

    Plus d'informations sur www.bourse-des-dechets.fr

    Les premiers emplois de solidarité signés à Angers

    Article du site www.paysdelaloire.fr (02/02/2012) : 

    Les deux premiers contrats "emplois de solidarité" ont été signés à Angers. Ce nouveau dispositif régional vise à créer de l'emploi dans les quartiers dits prioritaires et à favoriser la cohésion sociale.


    Henri et Jacques viennent de signer les premiers contrats emplois de solidarité à Angers. Ils travailleront comme animateurs pour l'association La Passerelle et pour la Régie de quartier d'Angers. Créés par la Région des Pays de la Loire qui les finance à 60% la première année, ces contrats sont principalement destinés aux associations qui oeuvrent dans les quartiers sensibles.

    Henri et Jacques interviendront dans le cadre du projet Rénov'Appart dans les quartiers de Mollerie-Lorette, Verneau et Monplaisir. Il aideront des locataires à prendre en main la réhabilitation de leur logement (peinture, tapisserie etc…). 

    Les deux animateurs animeront également des ateliers d'apprentissage au bricolage.

    "Les emplois de solidarité illustrent notre volonté de soutenir pleinement les acteurs associatifs qui œuvrent pour le développement de la cohésion sociale", expliquait Frédéric Béatse, maire d'Angers et vice-président de la Région des Pays de la Loire lors de la signature. "Ce dispositif vient renforcer l’action régionale en faveur de publics potentiellement discriminés et pour lesquels l’accès aux droits fondamentaux doit être renforcé», a poursuivi Jacques Auxiette, président de la Région des Pays de la Loire.

    Plus d'informations sur le site du Conseil Régional.

    jeudi 2 février 2012

    "Développer la capacité critique et d’étonnement des managers"

    Article du site http://lecercle.lesechos.fr (08/01/2012) : 


    "Depuis quelques années, la philosophie retrouve certains égards auprès des professionnels de l’entreprise. Effet de mode ? Sans doute un peu. Mais plus profondément, c’est bien une lame de fond qui traverse aujourd’hui nos organisations. Pouvons-nous continuer ainsi ? Comment changer ? Comment trouver ce qui nous manque, ou retrouver ce qui nous a été confisqué, à savoir le sens du travail ?

    La conscience que nous avons de ces questions est, aujourd’hui plus que jamais, d’une extrême acuité. C’est sur ce marché florissant que bon nombre de coachs essaient aujourd’hui de tirer leur épingle du jeu. Mais depuis des millénaires, c’est aussi le rôle de la philosophie que de poser la question du sens. C’est son rôle d’interroger toute les disciplines, tous les objets. Parmi ceux-là, l’économie, le management et l’entreprise ne font pas exception. Si la philosophie et l’entreprise ne se sont jamais véritablement rencontrées par le passé, nous sommes aujourd’hui à l’aube de temps nouveaux. Un vœu pieux ? Plus que cela… Une impérieuse nécessité. Le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France, le professait déjà il y a quelques années : « Aujourd’hui, il semble de plus en plus admis qu’il n’y aura pas de salut pour les entreprises si l’on n’y fait pas entrer d’une manière quelconque et sous une forme ou sous une autre la philosophie, en tout cas une certaine dose de philosophie ».

    Ce rapprochement doit commencer là ou beaucoup de choses se mettent en place dans la formation des manager, à savoir à l’école. La tâche est immense. Quoi de plus éloigné, étranger l’un à l’autre, qu’une faculté de philosophie et une école de commerce. La première se prévaut de former des Hommes capables de penser le monde et son évolution ; l’autre de professionnaliser des étudiants pour les insérer au mieux dans le monde du travail. Entre les deux, un fossé.

    Le rôle de l’éducation n’est pas d’insérer les jeunes dans le monde tel qu’il est. Ni de nourrir de connaissances abstraites des étudiants dont le seul avenir est de venir grossir les rangs des chômeurs ou d’accéder à des professions sans rapports avec leur qualification et niveau de diplôme. Le rôle de l’éducation est de former des hommes et des femmes capables de construire le monde de demain. Le rôle d’une école – fût-elle de commerce - n’est pas simplement de fournir « de la chair à patron », mais d’élever (au sens de tirer vers le haut) des individus jusqu’à l’autonomie. C’est une exigence à la fois économique et citoyenne. Une exigence qui coïncide maintenant de plus en plus avec la plupart des attentes des DRH lorsqu’il s’agit de recruter des collaborateurs. Au moins au niveau du discours.

    L’heure n’est plus au formatage des esprits, mais à leur ouverture la plus large, et pas seulement sur le seul plan interculturel. Comme des entreprises fonctionnant sur le modèle de toutes les autres, les écoles de commerce « se tirent la bourre » pour être les plus internationales et professionnalisantes possibles. Elles devraient également se jauger entre elles sur la capacité qu’auront leurs étudiants à construire le monde de demain, et non à en répéter les tristes erreurs. Qui mieux que la philosophie permet de rendre cela possible et d’élargir les frontières mentales ? Inoculer une dose de cette discipline dans les programmes des écoles de commerces ne serait pas un mal.

    Les facultés de philosophie de leur côté, sclérosées dans des schémas marxisants, voient souvent en l’entreprise le mal absolu. Elles dont l’objectif est de permettre à leurs étudiants d’être en capacité d’éclairer un certain nombre de problématiques, ne s’intéressent finalement très peu, pour ne pas dire pas du tout, à cet objet non identifié qu’est l’entreprise.  « On ne désire pas ce qu’on ne connait pas », affirmait Ovide. Comment des étudiants en philosophie peuvent-ils alors désirer une carrière dans le secteur privé marchand ? Pour la majorité de ceux qui s’engagent aujourd’hui dans un parcours universitaire en philosophie, l’enseignement –qui plus est à vie - ne constituera pas un débouché professionnel. Pour ces jeunes, l’ouverture vers le monde de l’entreprise doit donc devenir la règle et non l’exception.

    Faire s’interpénétrer la culture des Humanités et celle de l’entreprise, voilà le défi à relever en France. Dans les pays anglo-saxons, celles-ci n’ont jamais été ennemis ou simplement étrangères. Les passerelles ont toujours existé entre elles. A l’ère de l’économie de l’immatériel, la formation de l’intelligence et du cœur de nos futurs managers s’avèrera un atout décisif dans la compétitivité des entreprises du XXIème siècle."

    mercredi 1 février 2012

    Enjeux et bonnes pratiques du Développement Durable : "Logistique, transport et stockage"

    Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Logistique, transport et stockage".

    Bonne pratique : être signataire de la démarche "Objectif CO2, les transporteurs s'engagent", ou proposer cette démarche à vos fournisseurs de transport.

    Pour télécharger la plaquette de présentation de la charte "Objectif CO2", cliquer ICI.

    Lancement de la 1ère édition du Festival Deauville Green Awards

    Article du site www.bioaddict.fr (11/01/2012) :

    "La première édition des Deauville Green Awards, Festival International du film corporate pour l'écologie et le développement durable, aura lieu les 11 et 12 avril au théâtre du casino de Deauville. Initiée par l'association Un Ecran pour la Planète, cette nouvelle rencontre vise à valoriser les productions de la communication audiovisuelle des entreprises, institutions et collectivités engagées dans une démarche en faveur de l'environnement et du développement durable. 

    Ce festival convie et rassemble tous les acteurs de la communication audiovisuelle responsable (directeurs de services de communication, responsables audiovisuels, producteurs et réalisateurs, développeurs de nouveaux supports, etc..) autour d'une compétition internationale dotée de vingt-deux catégories spécifiques portant sur les thématiques suivantes : les énergies renouvelables, le climat, l'éco-responsabilité, l'éco-mobilité, le cadre de vie, la préservation de la santé, l'économie verte, la prévention des risques, les villes nouvelles, les engagements sociétaux ou encore l'éco-tourisme.

    Les participants peuvent inscrire leurs productions (films corporate, programmes pour le web ou la télévision, cartes de visite publicitaires et programmes de formation) qui seront visionnées par un Jury composé de professionnels de la communication audiovisuelle et des spécialistes du développement durable. Ils évalueront le contenu pédagogique, la créativité et la capacité des réalisations à sensibiliser les différents publics sur les enjeux liés au développement durable.

    Cette année, seront entre autres membres du Jury, Jacques-Olivier Barthes, Directeur de la Communication de WWF France, Bernard Emsellem, Directeur Général Délégué à l'éco-mobilité à la SNCF, Frédéric Leibovitz, Président-Directeur Général de Cézame Music ou encore Laurence Dayet, Directrice Adjointe de la Communication du Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable.

    Après délibération, le Jury attribuera les Astérias d'Or et d'Argent aux deux meilleures productions dans chaque catégorie et quatre Grands Prix qui récompenseront respectivement la meilleure réalisation, la meilleure politique audiovisuelle d'entreprise, la meilleure politique audiovisuelle de collectivité et la meilleure production écoresponsable. Des Prix Spéciaux seront également accordés par les partenaires du festival selon leurs critères.

    Jean-Charles Pentecouteau, Président des Deauville Green Awards, souhaite ainsi "que ce festival soit à la fois une compétition internationale réunissant les meilleures productions audiovisuelles pour le développement durable et une vitrine des meilleures pratiques."

    Le maire de Deauville, Philippe Augier, est quant à lui "convaincu qu'il est très intéressant d'avoir un festival de développement durable, un festival corporate qui est l'approche du développement durable par les entreprises. Ce festival sera l'occasion de faire se rencontrer des chefs d'entreprises, des producteurs de cinéma et c'est tout à fait l'ambition de Deauville de faire se rencontrer les gens pour qu'ils puissent partager une passion commune, un métier commun, des expériences et des intelligences à confronter, et donc de progresser. "

    Le festival propose d'ailleurs en marge de la compétition audiovisuelle, des colloques en phase avec l'actualité publique ou les préoccupations des professionnels, afin d'offrir aux participants des thèmes de réflexion qui pourront enrichir leurs projets audiovisuels. Cette année, ces échanges porteront entre autres, sur la dématérialisation des contenus audiovisuels et la question de la réduction du bilan carbone des productions audiovisuelles.

    A noter : Les professionnels souhaitant participer aux Deauville Green Awards peuvent inscrire leurs productions sur le site internet du festival (www.deauvillegreenawards.com) jusqu'au 1er mars 2012."