Action collective Bilan Carbone® / Diagnostic Environnement à destination des PME

A travers un dispositif inédit, le MEDEF Sarthe a l'opportunité de proposer aux entreprises adhérentes et non adhérentes de l'association, une action concrète animée par des experts locaux :

 

Cette action, incluant accompagnements individuels et réunions collectives et subventionnée à hauteur de 50%, consiste en la réalisation d'un Bilan Carbone® et d'un Diagnostic Environnement aboutissant à un plan d'actions unique.

Pour télécharger la plaquette de cette opération collective, cliquer ICI.

Pour plus d'informations :

• Matthieu ALIZON : matthieu.alizon@gmail.com

• Mélanie KERCKHOF : m.kerckhof@nileo.fr

La NASA illustre le réchauffement climatique depuis 1880

Article du site : http://ecologie.blog.lemonde.fr (26/01/2012)

"La Terre se réchauffe, et ce, toujours plus vite. Si les scientifiques ne cessent de le rabâcher, à coup d'études et rapports documentés, une poignée de climatosceptiques continue de nier cette réalité, arguant d'une manipulation planétaire. Alors, quoi de mieux qu'une animation pour mesurer le phénomène ? C'est ce qu'a effectué la NASA, en résumant dans une vidéo de 26 secondes, 131 ans d’évolution des températures sur Terre, de 1880 à 2011."

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L'autonomie est-elle l'avenir de notre société?

Article du site www.lexpress.fr (26/01/2012) :

"Le capitalisme d'aujourd'hui semble s'être laissé piéger par sa complexité et son obsession du profit. Et nous, citoyens-consommateurs, courons chaque jour derrière la consommation, l'épargne, le travail, la sécu, la retraite... Est-ce vraiment la bonne réponse à notre quête personnelle de sens et de bien-être? Une solution est en marche qui pourrait résoudre une partie de nos difficultés: l'autonomie. 

Chaque homme doit inventer son chemin... mais est-ce véritablement le cas dans nos sociétés modernes? Perdu dans ses finances incontrôlables, ses productions mondialisées et ses entreprises où l'humain et la nature ne pèsent pas bien lourds, le capitalisme d'aujourd'hui semble s'être laissé piéger par sa complexité et son obsession du profit. Et nous, citoyens-consommateurs, courons chaque jour derrière la consommation, l'épargne, le travail, la sécu, la retraite... Est-ce vraiment la bonne réponse à notre quête personnelle de sens et de bien-être? Est-ce la bonne voie pour pérenniser notre économie et réinventer l'imaginaire de notre avenir collectif? 

Une solution est en marche qui pourrait résoudre une partie de nos difficultés: l'autonomie. Du grec autos et nomos, l'autonomie est la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite. C'est par exemple l'histoire du philosophe humaniste Pierre Rabhi qui décide au début des années 60 de s'extraire de la vie urbaine pour s'installer en Ardêche où il devient agriculteur auto-suffisant tout en adoptant une simplicité volontaire -le fameux "retour à la terre" dont les joies et les affres ont été immortalisés avec humour par les BD de Larcenet et Ferri."

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Prochaine séance des mardis du Développement Durable

Prochaine séance des mardis du Développement Durable, le mardi 21 février à 20h, sur le thème de l'endettement.

Projection du film "Une vie meilleure" avec Guillaume Canet, suivi d'un débat avec la participation de l’UDAF Sarthe (Union départementale des Associations Familiales de la Sarthe) et de l’association "UFC Que choisir ?"

Lieu : Cinéma Les Cinéastes

Informations et réservation : 02 43 51 28 18

Journée de formation et d’échange de pratiques (Le Mans) : "Préjugés et Territoire"

Formation proposé par l'association "Les Petits Débrouillards" : 

"Comment aborder les préjuger avec les jeunes ? Est-il possible de s’appuyer sur les sciences humaines et sociales ? Existe-t-il des pratiques, des outils permettant aux jeunes de s’exprimer sans complexe ? Quel est le lien entre territoire et identité ?

Ce sont toutes ces questions que nous allons nous poser lors de notre première journée de formation et d’échange de pratiques, le 07 février de 9h30 à 17h au Pôle Coluche au Mans.

Au programme : Expérimentations, mises en situation, échanges d’outils pédagogiques, de pratiques et rencontre avec un Géographe de l’Université du Maine."

Pour plus d'infos et inscriptions, cliquer ICI.

Enjeux et Bonnes Pratiques du Développement Durable : "Gestion et prévention des risques"

Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Gestion et prévention des risques".

Bonne pratique : identifier et évaluer les risques environnementaux pour ensuite les maitriser et les contrôler.

Pour découvrir un exemple d'outil (gratuit et en ligne) pour la gestion et la prévention des risques, cliquer ICI.

Appel à projets 2012 de la Fondation de France : Initiatives solidaires, territoires et emplois

Initiatives solidaires, territoires et emplois

L’accroissement des inégalités sociales et territoriales favorise le développement de besoins sociaux peu ou mal satisfaits.

Au-delà des dispositifs mis en place par les politiques publiques, au-delà des services développés par les acteurs économiques privés, lucratifs ou non, de nouvelles réponses sont à inventer pour lutter contre ces phénomènes de relégation et favoriser la cohésion sociale sur les territoires.

Le croisement des regards et des compétences, le décloisonnement des disciplines – entre social et économique notamment - l’articulation entre plusieurs activités, la mobilisation de différents types d’acteurs - dont les bénéficiaires - peuvent permettre d’inventer au plus près des territoires ces nouvelles réponses que la Fondation de France souhaite soutenir et consolider.

Pour télécharger la plaquette de l'appel à projets, cliquer ICI.

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Choisir son papier écologique : fibres vierges labellisées ou recyclées ?

Article du site : http://unblogsurlaterre.com (13/01/2012) :

"Même les écologistes ne sont pas d’accord entre eux ! Quel est le papier plus écologique : celui issu de fibres vierges (FSC ou PEFC), celui issu de papier recyclé ou bien le mixte (c’est à dire mélangeant les deux provenances) ?

Bien sûr, il n’existe pas de réponse catégorique à cette question et chacun a sa propre opinion sur le sujet. Chez "Un bureau sur la terre", vous trouverez toute une gamme de papiers écologiques provenant de différentes fabrications. Cependant, nous nous sommes penchés sur la question et voici des réponses à deux idées reçues qui vous aideront certainement à faire votre choix."

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Les lycéens font cours dans l'entreprise

Article du site  www.ouest-france.fr (20/01/2012) :

Ils ont déserté leurs habituelles salles de classe. Pendant trois jours, ces 33 élèves de seconde de Savenay entrent de plain-pied chez Lacroix Signalisation, une société de Saint-Herblain.

D'ordinaire, cette salle confortable accueille des cadres phosphorant sur de nouveaux projets. Ils ont cédé la place à des élèves. Un panneau « Attention enfant » a même été installé dans la pièce... Clin d'oeil. Nous sommes chez Lacroix Signalisation. La société proche de Nantes accueille 33 élèves de seconde et cinq profs du lycée Jacques-Prévert de Savenay pendant trois jours. « Une classe entreprise comme il existe des classes de neige ou des classes vertes », expliquent Florence André et Catherine Briand, de l'Union des industries et des métiers de la métallurgie, à l'origine de cette initiative conjointe avec le rectorat.

Au programme, 50 % de cours et autant d'ateliers de découvertes. Ce matin, au deuxième jour, on calcule le prix d'un sens interdit. D'abord définir les différentes opérations, les coûts de la matière première, de la main-d'oeuvre, les amortissements et la marge. « Le calcul s'établit sur une base de 95 % de travail. Pourquoi ? », interroge Nathalie Dubois-Bouhier, professeur d'économie et de gestion. « Il y a des pauses ! », lâche quelqu'un sur un air de « Mais c'est bien sûr »...

La classe atypique valse avec les pourcentages. Les calculettes chauffent pour déterminer l'aire du sens interdit et les jeunes citoyennes et citoyens s'étonnent finalement du coût de revient : un peu plus de 410 €. « Ça fait cher. » L'ambiance est studieuse et quelques idées reçues en prennent pour leur grade. « Je pensais que les conditions de travail étaient différentes, davantage sur le mode à la chaîne », dit l'un des élèves. « Je n'aurais jamais imaginé autant de métiers différents », renchérit Morgan.

Des métiers différents ? Après la récréation - ici sans sonnerie - on va les découvrir en petits groupes. Maxime, un responsable de l'atelier sérigraphie, fait une démonstration avec des triangles « Animaux sauvages ». Du panneau de circulation au totem en passant par les abris voyageurs, le catalogue de Lacroix Signalisation est particulièrement étoffé. Ici, très peu de stock. « On travaille à la commande. Ce qui induit des pointes à 4000-5000 panneaux par jour, comme en décembre dernier », précise Hubert de Fontenay, directeur des ressources humaines.

À la maintenance, Francis raconte son parcours professionnel (BEP, bac pro et DUT) et son quotidien toujours varié. Aujourd'hui, il travaille sur une énorme machine dont il faut changer un décodeur. D'autres rencontrent des commerciaux. Au service marketing, on parle des salons professionnels, des mailings (envois en nombre) ou des promos...

« On prend le temps de bien voir », se réjouit l'un des jeunes visiteurs. Comme la plupart, il n'avait jamais mis les pieds dans une usine. « Ils voient l'industrie sous un autre jour », constate Stéphane Pares, proviseur adjoint du lycée. « Il nous appartient de contribuer à faire connaître nos métiers », fait valoir Hubert de Fontenay. L'école et l'entreprise réconciliées...

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Avec « Intouchables », toucher les jeunes sortis du système scolaire

Article du Ouest-France (19/01/2012) : 

"Ils ont quitté l’école, ils ne sont pas qualifiés et n’ont pas trouvé d’emploi. Ces « décrocheurs », âgés entre 16 et 25 ans, sont la cible d’un dispositif national [ANI : Accord National Interprofessionnel] qui pourrait leur permettre d’accéder à l’emploi. Dans la Sarthe, le Medef, la CFDT et la Mission locale se sont emparés du dispositif, pour accompagner le plus possible 123 jeunes sortis du système scolaire.

Pour informer les jeunes du dispositif, les trois partenaires misent sur la projection d’Intouchables, lundi 23 janvier à 18 h 30, au Mega CGR à Saint-Saturnin, en présence d’une partie de l’équipe de tournage.

Les invitations sont à retirer vendredi, à la Mission locale de l’agglomération mancelle : 5 bis, boulevard Churchill. Tél : 02 43 84 16 60."

Enjeux et Bonnes Pratiques du Développement Durable : "Politique d'achats"

Enjeu du Développement Durable de cette semaine : "Politique d'achats".

Bonne pratique : intégrer des critères de développement durable au niveau des achats de l'entreprise (Achats "Responsables").

Pour découvrir un exemple de comparateur d'achats de biens et de services pour les entreprises, développé par l'AFNOR et gratuit (accessible après enregistrement), cliquer ICI.

"Monter sa boîte, une solution alternative au chômage des jeunes"

Article du site http://lentreprise.lexpress.fr (16/01/2012) :

"Réduire le chômage des jeunes ne peut passer uniquement par la formation en alternance. La création d'entreprise est aussi une voie à explorer. Entretien avec Philippe Hayat, fondateur de ''100.000 entrepreneurs'' qui organise depuis 4 ans des témoignages d'entrepreneurs dans les établissements scolaires.

Vous avez rencontré Nicolas Sarkozy le 16 janvier avant le Sommet pour l'Emploi. Quel message avez vous porté ?

Au lieu de restreindre l'emploi des jeunes au seul sujet de l'alternance, je lui ai proposé d'encourager les jeunes à entreprendre. Ils créeront ainsi leur emploi mais aussi de nombreux autres. J'ai fait valoir que s'il parlait emploi des jeunes, il était bien d'ajouter à l'alternance une seconde corde, l'entrepreneuriat. Pour le chef de l'Etat en ces temps crise et de rigueur, ce serait aussi un discours d'optimisme donné à la jeunesse. 

Regrettez vous justement que le débat actuel se focalise trop sur l'alternance, ou les revenus de substitution ?

Oui. J'aimerais que le chef de l'Etat fasse de l'emploi des jeunes une grande cause nationale. Aujourd'hui quand on parle des jeunes, c'est toujours en termes de problèmes : ils n'arrivent pas à rentrer dans le monde du travail, c'est une génération précaire, certains sont violents, ils ne toucheront pas une bonne retraite... Du coup les jeunes oscillent entre indignation et résignation. Il y a pourtant une troisième voie : l'entrepreneuriat, où on peut s'épanouir en portant son projet professionnel.

Dans le détail quelles mesures préconisez-vous pour encourager les jeunes à entreprendre ?

Pour créer cet élan entrepreneurial dans la jeunesse nous suggérons 4 pistes aux pouvoirs publics :

D'abord il faudrait favoriser l'intervention d'entrepreneurs dans tous les lycées et collèges pour témoigner qu'il est possible de choisir sa vie professionnelle, et aider les jeunes à s'identifier. Autre piste, généraliser les filières "Entrepreneuriat" -qui donnent satisfaction dans les grandes écoles- aux Universités. Ensuite ces filières devraient être mieux connectées à tous les centres de recherche et laboratoires du pays : ces passerelles permettront l'éclosion d'entreprises innovantes à forte croissance. Enfin il faudrait mieux soutenir dans les quartiers difficiles l'accompagnement de jeunes créateurs d'activité par des entrepreneurs confirmés. Pour accélérer et péréniser les initiatives.

Que pensez vous des propositions actuelles comme le "0 charges pour l'emploi des jeunes" (rapport d'Alain Joyandet remis à Nicolas Sarkozy le 12 janvier) ou la baisse de charges moyennant le maintien d'un senior et l'embauche d'un junior dans l'entreprise ? (proposition du candidat François Hollande).

Le contrat de génération du candidat PS ou la proposition du député UMP sont peut-être de bonnes initiatives mais ils ne donnent pas confiance aux jeunes; c'est toujours l'idée qu'ils ne peuvent pas s'en sortir sans qu'on subventionne les entreprises. 

Estimez-vous que le fameux fossé entre l'Ecole et l'Entreprise se creuse ou se résorbe depuis quelques années ?

Les choses bougent lentement mais je crois profondément et dans le bon sens. Il y a eu la création du Parcours des Métiers et des Formations (PDMF) pour les élève des collèges et lycées. Ou la création du suivi personnalisé en classes de seconde première et bientôt terminale qui donnent aux élèves des outils pour s'orienter."

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La grande distribution va fermer ses réfrigérateurs

Article du site www.entreprises.ouest-france.fr (17/01/2012) :

"Elle s’est engagée hier à équiper ses rayons de portes vitrées d’ici 2020. Cela va lui permettre de baisser de 20 % sa note d’électricité. Et le client ne grelottera plus. 

 

Elle s’est engagée hier à équiper ses rayons de portes vitrées d’ici 2020. Cela va lui permettre de baisser de 20 % sa note d’électricité. Et le client ne grelottera plus.

L’été, on ne devrait plus regretter d’être parti faire ses courses au supermarché en bermuda et chemisette. Fini le passage quasi polaire au rayon des yaourts et fromages. La grande distribution promet en tout cas de poser des portes à ses rayonnages de produits frais. D’ici 2020. Pour 75 % des linéaires. Il faut dire qu’il y a du travail : 700 kilomètres de meubles frigorifiques à équiper. À eux seuls, ils représentent actuellement 40 % de la facture énergétique des supermarchés et hypermarchés. Laquelle devrait chuter de 20 % grâce à la mesure.

Autrement dit, on va économiser 2,2 térawattheures par an, l’équivalent de ce que consomme la ville de Lyon. Exprimé en gaz carbonique, cela représente 500 000 tonnes, c’est-à-dire ce que rejettent chaque année 350 000 voitures.

Cela coûtera 1 000 € par mètre équipé. Les enseignes devraient rentrer dans leurs frais en six à sept ans. La Fédération du commerce et de la distribution (FCD), qui rassemble les grandes enseignes sauf Leclerc et Intermarché, a signé, hier, une convention d’engagement avec Nathalie Kosciusko-Morizet, la ministre de l’Écologie. « C’est du bon sens, a justifié cette dernière en visitant un hyper Géant Casino de l’Essonne. Est-ce que chez vous, vous laissez la porte du réfrigérateur ouverte ? C’est ce qu’on fait dans tous les supermarchés. »

La mesure va toucher les grandes surfaces qui font partie de la FCD (70 % du marché), mais aussi Intermarché (12 %), qui devrait signer prochainement. Les enseignes de hard-discount ne se sont pas associées pour l’instant.

Pourquoi se limiter aux trois quarts des linéaires ? « Pour certains produits à très forte rotation, cela n’aurait pas de sens, estime Philippe Joguet, le responsable développement durable de la FCD. La porte serait ouverte trop souvent. C’est ce qu’a montré l’expérience menée dans une vingtaine de magasins. » Dont un Carrefour de Laval et un Super U de Gorron, en Mayenne.

Dans les autres cas, on se passera des rideaux froids soufflés qui maintiennent à température les produits frais entre -1° et +7°. Outre l’économie d’énergie, cela donnera plus de confort aux clients. « L’expérimentation a montré que cela permettait d’augmenter de 3° à 5° la température ambiante, observe Philippe Joguet. C’est encore plus sensible l’été. ».

Un arrêté a été publié dimanche au Journal officiel pour rendre éligible aux Certificats d’économie d’énergie la fermeture des meubles frigorifiques avec des portes en double vitrage. Ces CEE s’imposent depuis le Grenelle de l’environnement aux distributeurs de carburants que sont les hypermarchés. En équipant de portes leurs réfrigérateurs, ils éviteront à terme des pénalités."

Recherche "foyers témoins" pour test grandeur nature (Le Mans)

 Article du site www.ville-lemans.fr :

"Comment réduire de 7 % la production d'ordures ménagères dans les cinq ans ? Quels sont les gestes simples qui peuvent permettre à un ménage de générer moins de déchets ? Faites profiter chacun de votre propre expérience : devenez "foyer témoin" !

En se portant volontaires, des habitants de Le Mans Métropole appliqueront et testeront des pratiques susceptibles de diminuer le volume de déchets. Les résultats obtenus permettront d'identifier les moyens les plus efficaces d'y parvenir.

La démarche se déroulera sur trois mois. En mars, le foyer conservera ses habitudes ; en avril et mai, il optera pour quatre gestes de prévention (apposition d'un stop-pub, achats éco-responsables, compostage, etc.). Les ordures ménagères seront pesées durant tout ce temps.

Pour en savoir plus et retirer votre dossier de candidature avant la mi-février, vous pouvez appeler le 02 43 47 47 60."

"Biodéchets : toutes les pièces du puzzle sont en place"

Article du site www.actu-environnement.com (28/12/2011) :

"Afin de favoriser la valorisation de la matière de manière à limiter les émissions de gaz à effet de serre et à favoriser le retour au sol, l'article 204 de la loi Grenelle 2 établit une obligation de tri pour les gros producteurs de déchets fermentescibles. "A compter du 1er janvier 2012, les personnes qui produisent ou détiennent des quantités importantes de déchets composés majoritairement de biodéchets sont tenues de mettre en place un tri à la source et une valorisation biologique ou, lorsqu'elle n'est pas effectuée par un tiers, une collecte sélective de ces déchets", précise le texte.

(...)

En premier lieu, les textes définissent les assujettis et détaillent l'étalement, de 2012 à 2016 en fonction des volumes produits, de la mise en place de l'obligation. Ainsi, les producteurs de plus de 120 tonnes de biodéchets par an, ou de plus de 1.500 litres d'huiles alimentaires, devront trier et valoriser ces déchets dès 2012. Quant à ceux dont la production de biodéchets est comprise entre 10 et 20 tonnes par an, ou dont la production d'huiles alimentaires est comprise entre 60 et 150 litres par an, ils devront appliquer la mesure à partir de 2016.

(...)

Dans ce contexte, la publication des textes relatifs à l'injection du biométhane dans le réseau de distribution du gaz naturel vient confirmer la possibilité de traiter les biodéchets par méthanisation. Ainsi, un arrêté fixe la nature des intrants dans la production de biométhane pour l'injection dans le réseau de gaz et autorise l'utilisation des biodéchets ou déchets ménagers, des déchets organiques agricoles et notamment les effluents d'élevage et les déchets végétaux, des déchets de la restauration hors foyer et des déchets organiques de l'industrie agroalimentaire et des autres agro-industries. Une liste qui recoupe en grande partie la liste des déchets visés par l'obligation de tri et de valorisation."

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Deux entreprises sarthoises nominées pour les Trophées de l’innovation

Article du site www.lemans.maville.com (12 janvier 2012) :

"Elles ne reçoivent pas de trophée Territoire innovation mais elles ont été remarquées. Rustin (La Chartre-sur-le-Loir) pour son caoutchouc et Myoken (Le Mans) pour son outil de communication virtuel participeront néanmoins à la remise des Trophées de l’innovation Pays de la Loire, organisée par la lettre API et le Centre de communication de l’Ouest, ce vendredi matin à la Chambre de commerce du Mans.

Chacune ayant été nominée dans sa catégorie. Myoken, qui désigne l’étoile polaire en japonais, est une agence de communication digitale, elle touche à tous les métiers du numérique : création de sites internet, de sites e-commerce et tout ce qui est en lien avec le mobile. Fondée il y a six ans par Mickaël Marseul, l’agence a été remarquée pour son travail sur « la réalité augmentée ». De quoi s’agit-il ? De l’insertion d’un contenu virtuel sur un document réel.

Quant à Rustin, le service Developpement Matériaux vient de mettre au point un caoutchouc capable de répondre aux normes européennes dans le transport ferroviaire. Il ne dégage pas de fumée toxique ; en cas d’incendie, il dégage peu de fumée afin que les voyageurs « puissent bien voir les issues de secours ». Dernier élément, la haute résistance thermique du matériau. Il est homologué depuis juillet."

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Première édition du concours national "Tremplin Entreprendre Vert"

Article du site www.bioaddict.fr (04/01/2012) :

"Pour tous les projets d'entrepreneurs verts et acteurs du développement de l'économie verte en France, l'association Entreprendre Vert lance en 2012 la première édition du concours "Tremplin Entreprendre Vert " dédié aux jeunes créateurs d'entreprises. 

Soutien à l'entrepreneuriat écologique

Le développement de l'écologie tend à s'ancrer dans le monde de l'entreprise et se révèle être la solution pour une économie plus humaine et durable. Dans cette optique, l'association Entreprendre Vert lance le concours "Tremplin Entreprendre Vert", et offre au lauréat un accompagnement de 6 mois au sein du pré-incubateur de la Ville de Paris pour lui permettre de valider son modèle économique, le positionnement marché de son entreprise et amorcer le démarrage de l'activité. 

Les critères pour participer 
Les projets candidats peuvent être issus de secteurs d'activité très divers mais leur dimension écologique devra être clairement mise en avant. La société ne doit pas avoir encore été créée à la date de l'entrée dans l'incubateur (début mars 2012). Une première sélection sera effectuée par l'association Entreprendre Vert ; les dossiers les plus pertinents seront défendus par leurs initiateurs devant un jury composé de professionnels et d'experts de l'entrepreneuriat.

Une récompense concrète
Le gagnant du concours aura l'opportunité d'intégrer le pré-incubateur de la Ville de Paris, bénéficiant ainsi pour 6 mois :
- D'un hébergement et de services mutualisés.
- De conseils individuels renforcés : des rendez-vous réguliers permettent à l'équipe dirigeante d'être conseillée au cours de toutes lesphases importantes de son développement.
- D'une connexion avec les réseaux de l'innovation mais aussi avec les autres start-ups hébergées par les structures de Paris Incubateurs.

Date limite de participation : le 31 janvier 2012 (téléchargez le dossier sur le site d'Entreprendre Vert en cliquant ICI)."

Les Industriels français de mobilier professionnel lancent leur éco-filière : VALDELIA

Au 1er janvier 2012, les metteurs sur le marché (fabricants et importateurs) de mobilier domestique et professionnel ont l'obligation de gérer la filière fin de vie de leurs produits.

Pour répondre à cette réglementation, les fabricants de mobilier professionnel ont créé la société VALDELIA.

VALDELIA est donc une société qui a pour but :

- d'organiser la filière de recyclage du mobilier professionnel en fin de vie,

- de conduire cette expérimentation et se présenter ensuite en tant qu'éco-organisme.

Deux régions sont concernées par cette expérimentation : Les Pays de la Loire et l'île de France.

N'hésitez pas à proposer à VALDELIA vos "vieux" mobiliers professionnels (Contact VALDELIA : colette.metivier@valdelia.org).

Pour plus de renseignements, cliquer ICI.